Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Alain Delon - Page 10

  • 20 représentations exceptionnelles de "Love letters" avec Alain Delon et Anouk Aimée: "In the mood for cinema" sera à la première

    loveletters.jpg

    Les réservations sont ouvertes depuis avant-hier pour 20 représentations exceptionnelles de la pièce "Love letters" de A.R Gurney avec Anouk Aimée qui avait déjà tenu le rôle face à Philippe Noiret, rôle repris par Alain Delon qui met également la pièce en scène.

    Je regrettais de n'avoir pas vu la précédente version, en 2005, dans ce même théâtre, cette fois en revanche je serai présente à la première le vendredi 7 novembre pour vous en faire un compte-rendu sur "In the mood for cinema", dès le lendemain.

    Sujet: Phrases griffonnées sur des coins de cahier d’écolier, lettres d’amour d’adolescents, appels au secours d’adultes en proie au cours journalier des événements : Alexa (Anouk Aimée) et Thomas (Alain Delon) relisent les lettres qu’ils se sont écrites tout au long de leur vie. Ils nous révèlent ainsi leur intimité et la complexité de leurs sentiments .

    Informations pratiques

    Au théâtre de la Madeleine, du vendredi 7 novembre à 19H au samedi 29 novembre à 19H

    Du mardi au samedi à 19H, matinées le samedi à 16H.

    Réservations: 01-42-65-07-09 ou sur fnac.com ou sur la page internet du Théâtre de la Madeleine consacrée à "Love Letters".

    De 29€ à 49€ et 10€ ( - de 26 ans, selon disponibilités, mardi, mercredi, jeudi)

    Articles "In the mood for cinema" en rapport avec celui-ci:

    Critique de la pièce "Sur la route de Madison" avec Alain Delon, Mireille Darc

    Critique de "La piscine" de Jacques Deray avec Alain Delon, Romy Schneider

    Critique des "Montages russes" avec Alain Delon

    Critique du "Guépard" de Luchino Visconti avec Alain Delon, Claudia Cardinale...

    Soirée des 60 ans du Festival de Cannes 2007

  • « La piscine » de Jacques Deray : une plongée dans une eau savoureusement trouble et incandescente

    piscine.jpg 
    piscine dvd.jpgComme je vous le disais hier, faute de choix de films intéressants à l’affiche actuellement, je vous propose de profiter du Festival Paris Cinéma dans le cadre duquel sera notamment projetée « La piscine » de Jacques Deray, à l’occasion de l’hommage que le festival rend  à Jean-Claude Carrière qui en est le coscénariste. Si vous n’êtes pas à Paris vous pouvez également trouver ce film en DVD.

    Ce film date de 1968, c’est déjà tout un programme. Il réunit Maurice Ronet, Alain Delon, Romy Schneider, Jane Birkin dans un huis-clos sensuel et palpitant, ce quatuor est déjà une belle promesse.

    Marianne (Romy Schneider) et Jean-Paul (Alain Delon) passent en effet des vacances en amoureux dans la magnifique villa qui leur a été prêtée sur les hauteurs de Saint-Tropez. L’harmonie est rompue lorsqu’arrive Harry (Maurice Ronet),  ami de Jean-Paul et de Marianne chez lequel ils se sont d’ailleurs rencontrés, cette dernière entretenant le trouble sur la nature de ses relations passées avec Harry. Il arrive accompagné de sa fille de 18 ans, la gracile et nonchalante Pénélope (Jane Birkin).

    « La piscine » fait partie de ces films que l’on peut revoir un nombre incalculable de fois (du moins que je peux revoir un nombre incalculable de fois) avec le même plaisir pour de nombreuses raisons mais surtout pour son caractère intelligemment elliptique et son exceptionnelle distribution et direction d’acteurs.

    Dès les premières secondes la sensualité trouble et la beauté magnétique qui émane du couple formé par Romy Schneider et Alain Delon, la langueur que chaque plan exhale plonge le spectateur dans une atmosphère particulière, captivante. La tension monte avec l’arrivée d’Harry et de sa fille, menaces insidieuses dans le ciel imperturbablement bleu de Saint-Tropez. Le malaise est palpable entre Jean-Paul et Harry qui rabaisse sans cesse le premier, par une parole cinglante ou un geste méprisant, s’impose comme si tout et tout le monde lui appartenait, comme si rien ni personne ne lui résistait.

    Pour tromper le langoureux ennui de l’été, un jeu périlleusement jubilatoire de désirs et de jalousies va alors commencer, entretenu par chacun des personnages, au péril du fragile équilibre de cet été en apparence si parfait et de leur propre fragile équilibre, surtout celui de Jean-Paul, interprété par Alain Delon qui, comme rarement, incarne un personnage vulnérable à la sensualité non moins troublante. L’ambiguïté est distillée par touches subtiles : un regard fuyant ou trop insistant, une posture enjôleuse, une main effleurée, une allusion assassine. Tout semble pouvoir basculer dans le drame d’un instant à l’autre. La menace plane. L’atmosphère devient de plus en plus suffocante.

    Dès le début tout tourne autour de la piscine : cette eau bleutée trompeusement limpide et cristalline autour de laquelle ils s’effleurent, se défient, s’ignorent, s’esquivent, se séduisent autour de laquelle la caméra virevolte, enserre, comme une menace constante, inéluctable, attirante et périlleuse comme les relations qui unissent ces 4 personnages. Harry alimente constamment la jalousie et la susceptibilité de Jean-Paul par son arrogance, par des allusions à sa relation passée avec Marianne que cette dernière a pourtant toujours niée devant Jean-Paul. Penelope va alors devenir l’instrument innocent de ce désir vengeur et ambigu puisqu’on ne sait jamais vraiment si Jean-Paul la désire réellement, s’il désire atteindre Harry par son biais, s’il désire attiser la jalousie de Marianne, probablement un peu tout à la fois, et probablement aussi se raccrochent-ils l’un à l’autre, victimes de l’arrogance, la misanthropie masquée et de la désinvolture de Harry. C’est d’ailleurs là que réside tout l’intérêt du film : tout insinuer et ne jamais rien proclamer, démontrer. Un dialogue en apparence anodin autour de la cuisine asiatique et de la cuisson du riz alors que Jean-Paul et Penelope reviennent d’un bain nocturne ne laissant guère planer de doutes sur la nature de ce bain, Penelope (dé)vêtue de la veste de Jean-Paul dans laquelle elle l’admirait de dos, enlacer Marianne, quelques jours auparavant, est particulièrement symptomatique de cet aspect du film, cette façon d’insinuer, cette sensualité trouble et troublante, ce jeu qui les dépasse. Cette scène entremêle savoureusement désirs et haines latents. Les regards de chacun : respectivement frondeurs, évasifs, provocants, dignes, déroutés… font que l’attention du spectateur est suspendue à chaque geste, chaque ton, chaque froncement de sourcil, accroissant l’impression de malaise et de fatalité inévitable.

    Aucun des 4 personnages n’est délaissé, la richesse de leurs psychologies, de la direction d’acteurs font que chacune de leurs notes est indispensable à la partition. La musique discrète et subtile de Michel Legrand renforce encore cette atmosphère trouble. Chacun des 4 acteurs est parfait dans son rôle : Delon dans celui de l’amoureux jaloux, fragile, hanté par de vieux démons, d’une sensualité à fleur de peau, mal dans sa peau même, Romy Schneider dans celui de la femme sublime séductrice dévouée, forte, provocante et maternelle, Jane Birkin dont c’est le premier film français dans celui de la fausse ingénue et Maurice Ronet dans celui de l’ « ami »  séduisant et détestable, transpirant de suffisance et d’arrogance…et la piscine, incandescente à souhait, véritable « acteur ».  Je ne vous en dirai pas plus pour ne pas lever le voile sur les mystères qui entourent ce film et son dénouement.

    Deray retrouvera ensuite Delon à 8 reprises notamment dans « Borsalino », « Flic story », « Trois hommes à abattre »… mais « La piscine » reste un film à part dans la carrière du réalisateur qui mettra en scène surtout un cinéma de genre.

    Neuf ans après « Plein soleil » de René Clément (que je vous recommande également), la piscine réunit donc de nouveau Ronet et Delon, les similitudes entres les personnages de ces deux films sont d’ailleurs nombreuses et le duel fonctionne de nouveau à merveille.

    Un chef d’œuvre dont le « Swimming pool » de François Ozon apparaît comme une copie détournée, certes réussie mais moins que l’original. En lisant récemment « UV » de Serge Joncour je me dis que cette piscine-là n’a pas fini d’inspirer écrivains, scénaristes et réalisateurs mais qu’aucune encore n’a réussi à susciter la même incandescence trouble.

    Un film sensuel porté par des acteurs magistraux, aussi fascinants que cette eau bleutée fatale, un film qui se termine par une des plus belles preuves d’amour que le cinéma ait inventé. A voir et à revoir. Plongez dans les eaux troubles de cette « piscine » sans attendre une seconde ! La période estivale est le moment rêvé…à vos risques et périls.

    Heures et lieux de projection de « La piscine » de Jacques Deray à Paris Cinéma, au cinéma Le Champo dans le 5ème: le 2 juillet à 16H, le 5 à 18H, le 9 à 16H30, le 10 à 20H, le 12 à 20H.

    Sandra.M

  • In the mood for news 17 : actualité cinématographique de la semaine du 6 février 2008

                                                          Les sorties de la semaine

    Le film de la semaine recommandé par « In the mood for cinema »

    66b1aa03962938bf999fad0dbf71fbf6.jpg

    « Le Bannissement » : Un film d’Andrei Zviaguintsev avec Konstantin Lavronenko, Maria Bonnevie-Durée : 2H30-

    Pitch : Un homme, sa femme et leurs deux enfants, quittent une cité industrielle pour la campagne d'où est originaire le mari et s'installent dans la vieille maison du père de celui-ci.

     L’acteur principal (Konstantin Lavronenko) a reçu le prix d’interprétation masculine pour ce film au Festival de Cannes 2007. Voir ma critique sur mon blog consacré au Festival de Cannes 2007 : http://inthemoodforcannes.hautetfort.com

    Les autres films de la semaine

    e0f70bae13eaed0562b6793cde1d455a.jpg

    (Je n’ai vu aucun des autres films qui sortent cette semaine pour l'instant, critique du film « Les liens du sang » à venir prochainement sur « In the mood for cinema »)

     « John Rambo » : Un film américain de Sylvester Stallone avec Sylvester Stallone, James Brolin, Kim Dickens, Rey Gallegos, Jake La Botz, Tim Kang, Paul Schulze, Bruno Campos, Julie Benz, Matthew Marsden, et Graham McTavish-Genre : Action - Durée : 1H30 mn

    « Ca se soigne ? » : Un film français de Laurent Chouchan avec Thierry Lhermitte, Julie Ferrier, Michel Vuillermoz, Gérard Jugnot, Isabelle Gélinas, François-Xavier Demaison, Elisabeth Quin, et Stéphane Freiss-Genre : Comédie - Durée : 1H42 mn

    « Les Liens du Sang » : Un film français de Jacques Maillot avec François Cluzet, Guillaume Canet, Marie Denarnaud, Luc Thuillier, Olivier Perrier, Sarah Grappin, Clotilde Hesme, Mehdi Nebbou, et Carole Franck-Genre : Policier - Durée : 1H46 mn

    « Cloverfield » : Un film américain de Matt Reeves avec Michael Stahl-David, Mike Vogel, Jessica Lucas, T.J. Miller, Odette Yustman, et Lizzy Caplan- Genre : Science Fiction - Durée : 1H30 mn

    «  Les Faussaires » : Un film allemand et autrichien de Stefan Ruzowitzky avec Karl Markovics, August Diehl, Devid Striesow, Sebastian Urzendowsky, Andreas Schmidt, Tilo Pruckner, Martin Brambach, August Zirner, et Veit Stubner - Genre : Drame - Durée : 1H38 mn

    “PS : I Love You”: Un film américain de Richard LaGravenese avec Hilary Swank, Gerard Butler, Lisa Kudrow, Gina Gershon, Jeffrey Dean Morgan, Dean Winters, Anne Kent, James Marsters, Kathy Bates, et Harry Connick Jr. -Genre : Comédie romantique - Durée : 2H06 mn « Juno » : Un film américain de Jason Reitman avec Ellen Page, Michael Cera, Jennifer Garner, Jason Bateman, Rainn Wilson, Lucas MacFadden, Candice Accola, Olivia Thirlby, J.K. Simmons, et Allison Janney - Genre : Comédie - Durée : 1H31 mn

     « L'esprit de la ruche » : Un film espagnol de Victor Erice avec Fernando Fernan Gomez, Teresa Gimpera, Ana Torrent, Isabel Telleria, José Villasante, Juan Margallo, Laly Soldevila, Ketty de la Camara, et Estanis Gonzalez  - Genre : Drame - Durée : 1H38 mn

    « Muksin » : Un film malaisien de Yasmin Ahmad avec Mohd Syafie Naswip, Sharifah Aryana, Yuhang Ho, Sharifah Aleya, Amira Nasuha, Choo Seong Ng, Adibah Noor, Norkhiriah, Rozie Rashid, et Sharifah Amani-Genre : Drame - Durée : 1H34 mn

    « Brave Story » : Un film japonais de Kôichi Chigira avec les voix en VO de Takako Matsu, Tarô Ishida, Shirô Itô, Ayako Kawasumi, Eiji Wentz, Miki Imai, Kirin Kiki, Yo Oizumi, Katsumi Takahashi, Yoshiko Tanaka, Chiwa Saito, et Rie Shibata-Genre : Animation - Durée : 1H53 mn

     « La Fabrique des sentiments » : Un film français de Jean-Marc Moutout avec Elsa Zylberstein, Bruno Putzulu, Jacques Bonnaffé, Hiam Abbass, Anne-Katerine Normant, Jean Segani, Octave Novel, et Josiane Stoléru-Genre : Comédie dramatique - Durée : 1H44 mn

    Les prix de la semaine

    687692988f9ff6c1e1ab7974012dca21.jpg

    Le jury du “Prix Jacques Prévert du scénario” 2008 sous la présidence de Danièle Thompson a remis ses prix cette semaine.
    Le prix Jacques Prévert du scénario dans la catégorie “scénario original” a été décerné à Julie Delpy pour “2 days in Paris”
    Le prix Jacques Prévert du scénario dans la catégorie “adaptation” a été décerné à Ronald Harwood pour “Le scaphandre et le papillon”. (voir critique en cliquant ici) "Le scaphandre et le papillon" est également nommé pour le César de la meilleur adaptation.

    Le festival de la semaine

    42692efacd7ea12b9197b748365f945c.jpg

    Le Festival International du Premier Film d’Annonay dont j’étais membre du jury l’an passé (voir récit ici) fête cette année ses 25 ans. Un festival dont la compétition met à l’honneur les premiers films sans distributeurs.  Un festival qui se veut découvreur de talents. Le grand prix de notre jury 2007  « Mouth to mout » (je vous en reparlerai à cette occasion) sortira d’ailleurs sur les écrans au premier trimestre 2008. Jérôme Boivin préside cette année le jury et Bernard Blancan préside le jury des lycéens.  Site officiel du Festival : http://annonaypremierfilm.org  

    Pour lire le compte-rendu 2008 en direct (ou presque) du Festival du Cinéma d'Annonay 2008, par une autre ancienne jurée annonéenne, rendez-vous "Sur la route du cinéma".

    Les chiffres de la semaine

    b9501e71c947d92002fea4f6f908bd0b.jpgLes chiffres de la semaine concernent bien entendu Astérix et son budget olympique… 78 millions d’euros, le plus gros budget du cinéma français, une sortie dans 6000 salles en Europe dont 1074 écrans en France. Une sortie dans 30 pays. Seule la Grande-Bretagne a « résisté » à cette invasion gauloise. Pour que le film soit rentabilisé, 6 à 7 millions d’entrées seront nécessaires et 1 million de DVD vendus. Le producteur (et co-réalisateur) Thomas Langmann espère 20 à 25 millions d’entrées en Europe. 1600 plans truqués, 2500 figurants pour les scènes de foules…et surtout 22Millions d’euros de budget promotion. 453200 entrées le jour de sa sortie. Au regard du résultat, on se demande  dans quoi est passé le budget (salaires, trucages…?) tant la mise en scène est plate et tant le sujet aurait pu se prêter a des décors plus spectaculaires. Le scénario est quasiment inexistant (sans oublier une scène finale qui tombe comme un cheveu sur la soupe, prétexte à mettre en scène ou plutôt à mettre en images des sportifs connus dans le monde entier et donc assurés de susciter l’attrait d’un public international) mais il faut néanmoins l’avouer : les répliques et le long monologue d’Alain Delon qui apparaît sur la musique d’ « Il étais une fois dans l’Ouest » et (« Il y a un guépard de trop dans cette pièce » etc ) qui se moque de lui-même avec beaucoup de talent et de plaisir nous le transmet et les prestations de Benoît Poelvorde (obséquieux et fourbe au possible) et Gérard Depardieu (plus Obélix que nature) sont aussi remarquables et nous arrachent quelques sourires et regards attendris. Etions-nous en droit d’en attendre plus d’un film qui se revendique comme un film de producteurs et non un film d’auteurs, destiné à créer des entrées et espérons-le du divertissement…à défaut d’art (nous n’en demandions évidemment pas tant) ?

    A suivre : La critique de la pièce « Good Canary »…
  • In the mood for news 16: actualité cinématographique de la semaine du 30 .01.2008

    Le film de la semaine recommandé par "In the mood for cinema" :

    Elle s'appelle Sabine,  le documentaire de Sandrine Bonnaire qui sort en salles après un succès en festivals et lors de sa diffusion sur France 3 en fin d'année dernière. Pour en savoir plus, cliquez ici pour lire mon compte-rendu du Festival du Film Romantique de Cabourg 2007 où il était présenté .

    6269e29618b6e5c854ceac0c81555c55.jpg
    Les autres sorties de la semaine
    (Je précise n'en avoir vu aucun autre pour le moment)
    9463d56d868292b1ec9a3dec216a516e.jpg
    Le surmédiatisé, surfinancé ( le plus gros budget du cinéma français: 78 millions d'euros), surexposé (1000 salles en France, 5000 à l'étranger) et je n'espère pas surestimé  Asterix aux Jeux Olympiques -  Film Français de Frédéric Forestier et Thomas Langmann avec Clovis Cornillac, Gérard Depardieu, Alain Delon, Franck Dubosc, Benoît Poelvoorde, José Garcia, Nathan Jones, Jérôme Le Banner, et Stéphane Rousseau  Genre : Aventure - Durée : 1H53 mn
    A voir surtout pour le retour d'Alain Delon sur grand écran, en César.
    1a486675da7fee95de589be8f5961ff4.jpg

    Cortex Un film français de Nicolas Boukhrief avec André Dussollier, Marthe Keller, Julien Boisselier, Pascal Elbé, Chantal Neuwirth, Olivier Lejeune, Claire Nebout, Aurore Clément, et Claude Perron Genre : Thriller - Durée : 1H45 mn

    Nos souvenirs brûlés - Un film américain de Susanne Bier avec Halle Berry, David Duchovny, Benicio Del Toro, Alison Lohman, Sarah Dubrovsky, Liam James, Paula Newsome, Quinn Lord, John Carroll Lynch, et Robin Weigert Genre : Drame - Durée : 1H58 mn

     Promets-moi - Un film serbe et français d'Emir Kusturica avec Marija Petronijevic, Uros Milovanovic, Ljiljana Blagojevic, Miki Manojlovic, Stribor Kusturica, Vladan Milojevic, Aleksandar Bercek, et Kosanka Djekic Genre : Comédie - Durée : 2H06 mn

    Le libre arbitre - Un film allemand de Matthias Glasner avec Jürgen Vogel, Sabine Timoteo, André Hennicke, Anne-Kathrin Golinsky, Maya Bothe, Frank Wickermann, Anna De Carlo, Manfred Zapatka, Judith Engel, et Anna Brass Genre : Drame - Durée : 2H48 mn

    Telepolis - Un film argentin de Esteban Sapir avec Alejandro Urdapilleta, Valeria Bertuccelli, Julieta Cardinali, Gustavo Pastorini, Carlos Pineiro, Florencia Raggi, Rafael Ferro, Raul Hochman, et Ricardo Merkin Genre : Drame - Durée : 1H35 mn

    1d6080b8d146f09c8614c5047c8e3820.jpg

    Le Voyage du ballon rouge - Un film français de Hou Hsiao Hsien avec Juliette Binoche, Hippolyte Girardot, Louise Margolin, Simon Iteanu, Song Fang, et Anna Sigalevitch Genre : Comédie dramatique - Durée : 1H53 mn

    Cliquez ici pour lire ma critique de "Three times" de Hou Hsiao Hsien

    Litvinenko. Un film russe de Andreï Nekrassov et Olga Konskaïa avec Alexandre Litvinenko, Marina Litvinenko, Walter Litvinenko, Anna Politkovskaïa, Mikhail Trepashkin, Andreï Nekrassov, Natalia Lazareva, Boris Berezovsky, Alexandre Gusak, Andreï ponkin, André Glucksmenn, Jurgen Roth, Bill Bowring, Ivan Demushkin, Sergeï Dorenko, Svetlana Sorokina, Andreï Lugovoï, et Vladimir Putin Genre : Documentaire - Durée : 1H50 mn

    Rêves de poussière Un film français, canadien, et burkinabè de Laurent Salgues avec Makena Diop, Rasmane Ouedraogo, Joseph Tapsoba, Souleymane Souré, et Fatou Tall-Salgues Genre : Drame - Durée : 1H26 mn

    Welcome Europa Un film français de Bruno Ulmer  Genre : Documentaire - Durée : 1H30 mn

    Battle For Haditha Un film britannique de Nick Broomfield avec Elliot Ruiz, Yasmine Hanani, Vernon Gaines, Danny Martinez, Joe Chacon, Eric Mehalacopoulos, Jase Willette, Andrew McLaren, Matthew Knoll, et Thomas Hennessy Genre : Drame - Durée : 1H33 mn